La Fondation Les Airelles change de nom et dévoile son nouveau logo
La Fondation les Airelles devient la Fondation Enfance Emma Couvreu depuis 1829.
Suite à la récente diversification de ses prestations destinées au soutien et à la protection des enfants en difficultés, la fondation se dote d’une nouvelle identité afin d’assurer une meilleure lisibilité de ses missions.
Dans cette démarche, nous avons souhaité rattacher la fondation à ses origines en mettant sa fondatrice, Emma Couvreu, ainsi que la date de son heureuse initiative en valeur.
Cette nouvelle identité et son logo s’inscrivent par ailleurs dans la volonté constante de la fondation d’actualiser ses pratiques et de se tourner vers l’avenir.
Oxygène est un Module d’Activités Temporaires et Alternatives à la Scolarité que la Fondation Enfance Emma Couvreu depuis 1829 codirige avec la direction de l’Etablissement scolaire de La Tour-de-Peilz.
Les Educateurs Sociaux en milieu Scolaire interviennent dans les 12 établissements scolaires de la région Lavaux-Riviera. Leurs actions sont principalement destinées aux élèves de ces établissements en collaboration avec leurs parents, leurs enseignants et le réseau psychosocial de l’établissement.
La Maison d’enfants de Pompaples est située sur le site de Saint-Loup à Pompaples. Elle offre un lieu de vie temporaire d’urgence à deux internats de protection des mineurs ukrainiens qui, en raison de situation de guerre, ont momentanément besoin d’un refuge hors d’Ukraine.
Malgré l’abondance d’œuvres philanthropiques, aucun établissement n’offre de refuge aux enfants abandonnés à Vevey.
Monsieur Frédéric Couvreu fait partie du comité de l’Asile d’Echichens qui accueille des enfants abandonnés depuis le 18 juin 1828. Le 1er octobre 1828, il parle de l’idée d’ouvrir un établissement équivalent mais pour jeunes filles à Vevey à sa femme Emma. Aussitôt, cette dernière, aidées de quelques amies passionnées, décide de former une cellule afin de travailler à la réalisation d’un asile indépendant pour jeunes filles abandonnées. Elles confectionnent divers ouvrages destinés à être vendus au public, dont le produit vient augmenter le contenu de la petite ’’boëte’’ déposée sur la table de travail chaque lundi soir. Elles constituent ainsi un capital de départ certes modeste, mais jugé suffisant.
Les dons privés nous permettent de garantir la meilleure qualité de prestations possible aux enfants que nous accompagnons et de combler ainsi une partie de l’injustice qui les frappe.